Au pays des kiwis – L’île du Nord

L’aventurière aimait changer de rythme. Cela dynamisait encore plus son voyage et lui donnait un nouveau peps. Elle avait donc eu l’idée de rejoindre Auckland en auto-stop, le but étant également de rencontrer du monde, ce qu’elle avait peu fait lors de son périple sur l’île du sud. Cependant, si l’île du nord était moins jolie que sa consœur du sud, elle était également jonchée de merveilles, distantes les unes des autres. Elle commença donc par prendre le bus afin de rejoindre Picton, la ville de départ du ferry. Le trajet fut très long et plutôt onéreux. Elle eut alors le temps de réfléchir, de calculer et de choisir de modifier ses plans – elle se questionnait toujours sur l’intérêt d’en faire car ils venaient à changer à chaque fois qu’elle en projetait ! Elle se décida pour relouer une voiture. Ses envies de découvertes, de liberté et de tranquillité avaient prit le dessus !

Au petit jour, tôt le matin, la backpackeuse monta à bord du ferry. Marco, un chilien rencontré à l’auberge la veille, qui était lui aussi dans le bus depuis Christchurch, faisait également route vers Wellington. Ils bavardèrent, échangèrent leurs expériences de voyage, leur vision de la vie. Marco est ingénieur au Chili mais gagne mieux sa vie à faire des petits boulots et voyager en Nouvelle-Zélande…​ Ils savourèrent ce moment de trait d’union entre les îles. Un arc-en-ciel en plein milieu de la mer les ravit.

Marco lui offrit un trèfle à quatre feuilles. Quels moments magiques ! Arrivés à bon port, ils déjeunèrent ensemble puis chacun fit route de son côté, attendu là où la vie les menaient. Wellington. La capitale NZ. Elle accueillie la voyageuse avec ses barres de containers dans son port Harbour. Puis elle se dévoila petit à petit, offrant à sa vue ses arts de rue, ses sculptures, ses ravissants airs contemporains et artistiques.

Et son excellent musée, le Museum Te Papa​Tongarewa, qui signifie « la malle aux trésors ». Ce qu’il est réellement. Il propose aux visiteurs les trésors et légendes de la Nouvelle-Zélande et de son peuple. Il a été pensé et créé en un partenariat qui reconnaît et valorise la condition autochtone du peuple maori, les « tengata whenua », « hommes de cette terre ». La curieuse visita ainsi Te Taiao, « la nature ». Cette salle présente différentes espèces animales qui peuplent ses îles et l’histoire de ses volcans et de l’environnement naturel. Elle continua avec un peu d’Histoire : Gallipoli et les huits néo-zélandais engagés dans la première Guerre Mondiale. Elle fut fascinée par ces œuvres aux allures de réalité et aux dimensions doublées !

Ensuite, Marae Rongomaraeroa, le cœur du musée, est réalisé par les maîtres de la sculpture maorie. Il lui présenta des aspects de la culture des indigènes de Aotearoa et la capacité artistique des Rongowhakaata (un clan de la côte est).

Les photos sont interdites dans le but de respecter les traditions de ce peuple. Elle put observer leurs maisons, leurs constructions, leur façon de vivre. Cela lui donna un bref aperçu de ses indigènes. Elle n’avait pas envie de payer une attraction touristique pour rencontrer des villageois, trouvant ce concept surfait et peu naturel. Elle savait également qu’elle allait bientôt rencontrer leurs cousins du Pacifique sur une île voisine – enfin, si la conjoncture actuelle du Monde se calmait et le lui permettait. Elle continua sa visite du musée avec les salles consacrées à l’art, contemporain, en Nouvelle-Zélande. Elle prit tout son temps et en fut ravie.

Le lendemain, elle rendit visite au jardin botanique, qui surplombe la ville.

Il est très escarpé, tout en relief. C’est un endroit calme mais assez fréquenté, avec quelques ruches et une mini-roseraie, mais qui la laissa assez indifférente. L’exploratrice souhaitait donc conseiller à ses lecteurs de préférer, s’ils disposent d’une voiture, le Wilton Bush. Ce paisible et grand parc, traversé d’une rivière, accueille de nombreux animaux, dont les fameux Tui – erreur corrigée sur la confusion des oiseaux dans mon précédent article 🙃 – au son particulier peu mélodieux.

Il vint ensuite le temps de récupérer sa nouvelle voiture et de faire route en direction du Mont Taranaki. C’est un volcan endormi, de forme conique quasi parfaite – un des seuls au monde – dont le sommet atteint deux milles cinq cent dix-huit mètres d’altitude. Elle arriva dans les environs aux dernières lueurs du jour. Elle le vit. Il se devinait dans la pénombre. Elle sentit une pointe d’excitation l’envahir : le lendemain, elle allait réaliser son rêve d’escalader les pans d’un volcan ! Il disparu doucement de sa vue, avalé par la nuit.

Le Mont Taranaki – Merci Pierre pour la photo !

Elle arriva alors au « Volcano View Campsite ». Mona-Ana loue un bout de son terrain pour les désireux. Cela coûte quatorze dollars la nuit – contre de potentiels parking gratuits à New-Plymouth – mais l’avantage est qu’il ne se situe qu’à vingt minutes du départ. Le camp était normalement fermé le mardi et qui plus est dès la nuit arrivant. La grimpeuse expliqua les bouchons de la capitale – bien moindre que ceux de celle de France – et la gentillesse de son hôte la réjouit. La lune était pleine, belle en cette soirée. Elle prépara alors son nouveau cocon.

Quelques heures plus tard, après une courte nuit, la lune avait fait son chemin et n’était voilée que de quelques nuages. Un coup d’œil à la météo, point très important avant d’entreprendre l’ascension du Mont Taranaki – des vents forts à son sommet ont déjà entraînés la mort de plusieurs personnes – et la journée s’annonçait bien. Elle prit donc la route, dans l’espoir de pouvoir savourer le lever du soleil. Elle se gara et sortie de sa voiture…sous les premières gouttes de pluie. Elle commença l’ascension. Et la pluie prit de l’ampleur, à l’encontre des prévisions. Après peut-être une heure de marche, elle rencontra trois américains qui sortaient de leur nuit au refuge. La pluie n’avait cessée et le soleil laissa deviner un tout petit bout de nez avant de disparaître complètement, étouffé par ces nuages grossis d’eau.

Elle prit son temps. Elle avait toute la journée devant elle pour effectuer l’aller-retour de ces treize kilomètres. Elle n’était pas en forme, elle était fatiguée. Cette ascension oblige une bonne condition physique, elle est rude et exigente et présente plusieurs parties d’alpinisme. Elle ne nécessite pas de matériel particulier mais des bâtons de marche sont vivement recommandés. Le Mont Taranaki est un lieu sacré pour le peuple maori. La légende maorie raconte que Taranaki vivait auparavant avec les montagnes Tongariro, Ngauruhoe et Ruapehu, dans le centre de l’île du nord, mais qu’il a fui vers son emplacement actuel après une bataille avec Tongariro. Son cratère et son sommet représentent la tête de Taranaki. Les crêtes et les roches sont assimilés à ses os, les rivières à son sang et la végétation à son manteau pour se protéger du mauvais temps. La grimpeuse avançait. La contemplation de quelques fleurs lui procura une courte pause, celle de gouttes de pluie perlant sur ces brins d’herbe lui en offrit une autre.

Elle franchi le dernier col et fût surprise de voir la neige recouvrir le cratère. Elle le traversa, faisant craquer ce névé sous ses pieds, dans le but d’entreprendre une dernière petite ascension afin d’atteindre le point culminant.

Mais sur le chemin, quel spectacle ! Quelle beauté ! Quelle magnificence ! Le peintre de la Nature lui offrait une de ses œuvres, là, pour le plaisir de ses yeux. Des trésors. Des pierres de toutes les couleurs, aux multiples teintes : ocre, pourpre, orange, des reflets bleus, du violet. Elle ne s’était pas attendue à cela. Elle était ébahie.

Le Mont Taranaki est un stratovolcan andésitique. Cela signifie que sa structure, composée de roche volcanique andésique – roche magmatique grise qui correspond à une zone de subduction – a été créée par l’accumulation de coulées de lave libérées par différentes éruptions successives. La dernière éruption remontant au dix-huitième siècle.

Elle se laissa guider par son éblouissement et se détourna du chemin. Elle rencontra deux autres hommes et les suivit jusqu’au sommet, s’arrêtant ici et là pour contempler cette magie. Et pour contenter sa cleptomanie des pierres. Elle aurait aimé mettre le volcan dans ses poches et l’emporter avec elle. Mais l’impossible a ses limites… Les nuages de pluie n’avaient pas quitté le Mont. La vue était donc complètement bouchée. C’était dommage mais c’était le jeu. Elle était déjà heureuse d’avoir pu arriver jusque-là et de ne pas avoir dû renoncer à cause du vent.

En redescendant, l’américain l’attendait. Ils s’étaient inquiétés de ne pas l’avoir croisée jusqu’au sommet, l’ayant devancée dans l’ascension. La descente était presque aussi difficile que la montée. Cela expliquait l’important camaïeu de bouts de gommes de chaussures qu’elle avait ramassé lors de sa grimpe. Elle risquait malheureusement elle aussi d’en laisser sur le chemin…

Fatiguée mais heureuse de cette belle randonnée et riche de ces découvertes, elle pris son temps pour se remettre de tout cela et décider de la suite de sa journée pluvieuse. Elle quitta enfin ce volcan au cône quasi parfait sans avoir pu le contempler de sa base. Elle serait obligée d’aller rencontrer son homologue, le Mont Fuji, au Japon !
Ce mercredi onze mars était un jour particulier. Il était le dernier jour de cette première moitié de Tour du Monde. L’héroïne était à la fois contente d’être sur le chemin du retour. Ses passions, son chat, ses amis, sa famille, une stabilité, lui manquaient. Elle avait accompli un long et beau chemin physique et avait très bien avancé dans son cheminement psychologique. Et elle était aussi à la fois heureuse qu’il lui reste tant de belles choses et rencontres à découvrir. Elle avait également encore besoin de temps pour se rapprocher d’un équilibre et d’une tranquillité d’esprit. Elle avait recommencé à écrire des poèmes et souhaitait en partager un avec vous.

Prise de conscience

Il vient un jour où l’on se rend compte
Que certains amis ne sont pas des amis.
Lorsque l’on ne prend pas de leurs nouvelles
Ils ne se rappellent pas à nous.
Ils ne reviennent vers nous que dans le besoin.
Dans leur besoin.
Jamais dans le nôtre.
Ils subsistent à notre mémoire,
Nous nous y attachons.
Nous nous sommes attachés à eux.
Mais ils en sont détachés.
Détachés de nous,
Détachés de notre affection,
Attachés à notre trop grande gentillesse.
Le proverbe loin des yeux loin du cœur,
Prend tout son sens, en ce sens.
L’ amitié se vit à double sens.
Si elle est à sens unique,
C’est que ce n’est qu’une attente.
Qui risque d’être longue
Et est inutile.
Alors, maintenant,
J’écrême.

Nouveau jour, nouveau plaisir. Waitomo Caves, littéralement trou d’eau, qui est alors traduit par « le ruisseau qui se jette dans le trou dans le sol ». Cette grotte fut découverte en 1887 par le chef maori local, Tane Tinorau, et un arpenteur anglais. L’accès est assez onéreux, mais l’aventurière n’avait pas été déçue de ce déboursement. Elle pénétra tout d’abord dans une grotte présentant des stalactites et des stalacmites de calcaire.

Il y a trente millions d’années, Waitomo se trouvait sous la mer. Ses formations calcaires sont en perpétuelle évolution depuis sa sortie de l’eau. Suivait un grand espace, appelé cathédrale, à l’acoustique apparemment particulier, qui permis à un visiteur de présenter ses talents de chanteur.
Et ensuite, la magie apparue. Elle dut s’accroupir pour observer ces nombreux filaments accrochés au plafond de cette voûte basse. Ils étaient des milliers. Des perles d’eau de calcaire les recouvraient.

Image empruntée au Web pour les besoins de mon blog 😉

Et la base de ces filaments émettait une telle lumière verte et vive ! La magie continua lorsque la guide éteignit la lumière. De multiples petits points verts luisaient dans la nuit. Ils parsemaient ce plafond. Wahou ! Elle savoura ce délicieux spectacle offert par les vers luisants. La visite continua dans la grotte. Les spectateurs se dirigèrent alors vers un bateau. Cette grotte présentait à nouveau de nombreuses lumières vives accrochées à son plafond. Il n’y eut plus de place dans l’embarcation, alors elle attendit avec quatre autres personnes. Ils eurent donc la chance de profiter longuement de ces lueurs en attendant leur tour. Ils prirent place dans un autre bateau, uniquement tous les cinq. Elle était ravie de cette tranquillité. Et le spectacle continua et prit de l’ampleur. Ces milliers de lumières luminescentes étaient telles des constellations au dessus de sa tête. Il y en avait partout.

Photo de la photo de la brochure

Le lieu était si calme et apaisant. Une bulle de bonheur. Le reflet dans l’eau, au son des gouttes qui touchaient le ruisseau, était un moment sublime. Les lumières scintillaient par moment. Le batelier les promenait dans ce lieu magique. Il se rapprocha d’un bord de la grotte. Elle aurait pu toucher les vers luisants. Les filaments des uns se devinaient à la lueur des autres. Ces vers luisants, Arachnocampa Luminosa, ne sont présents qu’en ce lieu de la Nouvelle-Zélande. Les grottes sont un précieux taonga (trésor) pour les maoris.

Les larmes de leur père céleste Ranginui sont tombées sous forme de pluie sur le sol, les larmes de son désir ardent pour leur mère terre Papatuanuku. Ces gouttes sont devenues des ruisseaux qui ont coulées à travers la terre pour former les systèmes de grottes. Et c’est dans cette séparation de leur père céleste et de leur mère terre qu’ils ont commencé à sortir de l’obscurité. Mais avant que la chaleur du soleil n’apparaisse, la dernière lumière de la nuit était celle des vers luisants…

Malheureusement, c’est une attraction touristique et les photos ne sont donc pas autorisées car elles sont vendues à la sortie – également afin de respecter les vers luisants. Mais les images et ses impressions resteraient à jamais gravées dans la mémoire de l’héroïne.
Elle mis le cap sur le lac Okaro et son campsite. Elle s’y baigna, avec les cormorans, l’eau était bonne.

Et elle repartie le lendemain pour un autre lieu magique. Wai-o-Tapu. La zone volcanique de Taupo est un des lieux volcaniques les plus actifs au Monde. En cela, l’île nord de la Nouvelle-Zélande est fragile car elle est le lieu de collision de deux plaques, celle du Pacifique et l’indienne-australienne. La voyageuse entra ainsi sur ce lieu en perpétuelle évolution depuis cent soixante mille ans. Une odeur de souffre l’accueillie. Elle visita ainsi une vingtaine de sources géothermales de couleurs, de matières, d’aspects, de compositions aussi différentes les unes que les autres.

Papa Wera

C’était extraordinaire. Du jamais vu pour cette exploratrice. Les couleurs étaient vives dues à l’oxydation des minéraux qui venaient des profondeurs de la Terre. Elles changeaient avec le soleil, le vent et le niveau de l’eau. Le dépôt des minéraux en suspension dans l’eau reflétaient la lumière du soleil.

Roto Karikitea

Le marron-rouge représente l’oxyde de fer, le violet l’oxyde de manganèse, le jaune le souffre, le rose le sulfure de mercure et le blanc le kaolin (l’argile blanche). Certains lieux présentaient des cristaux de souffre, du pétrole brut, de la geysérite, de l’or, de l’argent, du mercure, de l’arsenic, du thallium, de l’antimoine, etc.

Champagne Pool

Des vapeurs acides de gaz volcaniques plongeaient le regard du spectateur dans le flou.

Source Ipu

Des bulles, dues au dioxyde de carbone, produisaient un son particulier, tantôt d’eau bouillonnante, tantôt de champagne, tantôt d’un son exploité pour une des scènes du Mordor dans le Seigneur des anneaux. L’eau de certaines sources pouvait atteindre quatre-vingt dix-huit degrés ou quatorze degrés. Le PH était changeant. Tous ses sens étaient en éveil.

Native Bush walk

La balade se faisait dans la forêt indigène. De nombreux arbres, les Kanuka géants, présentaient une pellicule orange. Le lac vert empruntait sa couleur aux algues, aux bactéries et aux archées – micro-organismes unicellulaires. Les oiseaux s’amusaient.

L’énergie géothermique représente quinze pour cent de l’électricité totale du réseau néo-zélandais. Les sources géothermiques sont également importantes pour les Maoris. Ils pouvaient se baigner et cuisiner grâce à ces sources. Une belle magie offerte par Mère Nature.

Elle avait bien fait de suivre son instinct et ses envies, elle aurait raté ses spectacles… Elle ne l’aurait peut-être jamais su, mais en doutait car elle risquait de partager ses photos avec d’autres amoureux de la NZ.

L’heure n’était glorieuse pour personne, en France ou à l’autre bout du Monde. Encore une semaine de vacances et l’aventure allait très certainement s’arrêter là. Les frontières seraient bientôt toutes fermées. L’aventurière était très déçue mais allait devoir accepter cette situation, comme tout le monde. Elle gardait le sourire et vous embrassait très fort !

Publié par Gwendoline

La vie s'écoule Telle une rivière Tantôt paisible Ou chahutée Faite de remous Nous éclabousse Impitoyable Semée d'obstacles Ou bien d'épreuves A vivre en jeux Pour s'éprouver Se découvrir Et puis en rire De joie de vivre De découvertes Et de rencontres A demi-mots Ou sincèrement A vivre à fond Au plus profond De tout notre être Et simplement ... vivre

8 commentaires sur « Au pays des kiwis – L’île du Nord »

    1. Thank you, Marco!!! I was happy to met you, too. Sure we will see us again, in Chili, France or anywhere 😉 It was not the last one adventures, there is just an other one after it, I will post it today 😉
      Keep safe too!!! Cheers!

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  1. Bonjour Gwendoline,
    que de chemins parcourus! en kilomètres, en paysages, en rencontres, tu nous partages tes impressions de voyage à travers de très beaux textes et tes photos. Tu nous partages aussi tes questionnements, ils résonnent en nous. Nous sommes confinés, la planète va se reposer un peu et nous aussi. Merci Gwendoline

    Aimé par 1 personne

    1. Je te remercie, Jean-Paul !
      De mon côté, il me reste une étape de parcours de combattant, pour avoir un avion demain et espérer rentrer en France…me reposer si possible 😉
      L’aventure prend une autre tournure au vu de l’actualité du monde, c’est ainsi.
      Bon​ ​​repos à toi et bon courage pour le confinement !

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  2. Nous pensons à toi Gwendoline. Merci de nous faire rêver et par tes photos nous faire revivre ce beau voyage en NZ que nous avons eu le bonheur de faire. Amicalement. Yves et Edith.

    Aimé par 1 personne

    1. Merci beaucoup, Édith et Yves ! J’espère que vous avez pu profiter du Chili malgré les évènements ! Vous me raconterez, car je ne sais pas quand est-ce que j’aurai l’occasion d’y aller au vu de la situation… Voyageusement 😉

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  3. Salut Gwendoline,
    Je pensais depuis plusieurs jours à aller consulter ton blog (pour la 1ère fois je crois) : c’est fait !
    Je suis scotché par la qualité et la richesse de ta prose. Tu a réellement des compétences d’écrivaine en plus de celle de poétesse (ce que je savais déjà). Je viens de parcourir ton dernier article : c’est très agréable à lire.
    Pardonne moi pour le jeu de mots (entre sens propre et figuré) : quel bel équilibre sur ton rocher !
    Au plaisir de te revoir,

    Aimé par 1 personne

    1. Salut Nicolas !
      Je te remercie 😊 Au vu de la situation actuelle, tu as donc probablement un peu plus de temps pour lire le reste de mes articles 😉 Bon courage pour faire les cours à distance !!!
      Au plaisir de te revoir également ! Bises

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